
Cain Velasquez : C'est arrivé pendant mon année junior au collège. J'aimais la lutte – et j'aime encore ça aujourd'hui d'ailleurs – mais j'avais l'impression qu'il me manquait quelque chose et c'était les frappes. Ce sentiment se faisait parfois sentir, puis s'est intensifié. Lorsque j'ai pris conscience de la croisse des AMM, j'ai pensé, “Okay, c'est parfait. Voilà exactement ce que je cherche”.
Il y a eu des débordements lors de ta dernière tournée promotionnelle à Mexico City. Que s'est-il passé exactement?
C'était fou. Je n'avais pas vraiment publicisé l'événement plus qu'il ne fallait, donc la tournure des choses a pris tout le monde par surprise. Nous n'avions pas prévu suffisamment de sécurité. C'était au rez-de-chaussée d'un Macy's. Je me tenais entre deux escaliers, le dos contre le mur. La séance de signature d'autographe devait originalement durer deux heures, mais nous nous sommes arrêtés après cinq minutes seulement. Les gens ont commencé à pousser et s'agiter, donc nous avons dû mettre un terme à tout ça. À la fin, j'ai dû autographier 2 000 cartes et les expédier à Mexico City afin que les gens puissent en avoir une.

Oui, du moins ça dépend où nous allons. Une fois, j'ai dû mettre un déguisement et sortir par l'arrière, mais ça dépend vraiment de l'endroit.
Quand as-tu commencé à conduire des motos?
Mon oncle a toujours eu des motos. Même lorsque nous étions enfants, il nous donnait de petits trois roues ou quatre roues [des VTT]. Nous pouvions faire le tour du terrain. C'est ainsi que j'y ai pris goût, puis j'ai grandi et n'avais pas les moyens financiers de me payer ce type de véhicules. Michelle et moi avions voulu suivre des cours il y a environ un an et demi et nous avons commencé ensemble. C'est à cause d'elle que j'y ai repris goût. Maintenant, j'adore ça.
À quel point es-tu près de Daniel Cormier, que penses-tu de lui?
Je crois qu'il est le meilleur poids lourd.
